« La bonne épouse » est aussi un film plus éclairé....
Oui, c'est un comédie avec un côté Paris Match années 60. Il y avait beaucoup d'éclairages à l'intérieur de cette maison. L'idée, c'était de voir tout le temps les extérieurs par les fenêtres, sans être sur-exposé. La latitude du capteur de l'ALEXA LF me le permettait. J'ai utilisé beaucoup d'ARRI SkyPanel à l'intérieur et des sources HMI pour l'extérieur. Sur « En attendant Bojangles », c'est une autre direction d'image. Il s'agit d'un drame psychologique mais avec une fantaisie à la Boris Vian. Nous sommes plus proche de l'esthétique du photographe Jean-Marie Périer, qui, d'ailleurs, utilisait beaucoup le 35mm.